Édification à la culture du royaume au Festival les Jeunes au Yadah 
Le mouvement interdénominationel Mercredi en Montagne a achevé sa rencontre des jeunes ce 11 août 2024. La 2e édition du programme des jeunes dénommée les Jeunes au Yadah était placée sous le thème : "comprendre le royaume". Le rendez-vous s'est tenu à la Salle Revival situé à Douala 5e.
Plus de 1000 personnes de tout âge confondu ont répondu présent à cette convocation d'édification, d'échanges et de divertissement. Pour la circonstance, les serviteurs de Dieu orateurs ont exhorté les participants sur la pureté comme seule condition pour voir Dieu. "Car il est écrit en Matthieu 5 :8 (LSG) : « Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu »", précise Yvan YEPGA, orateur à ladite rencontre.
Cependant la jeunesse est caractérisée par une forte attirance vis-à-vis des choses du monde. Les jeunes aiment le plaisir, ils aiment ce qui frappe le regard, ils sont attirés par la sexualité, etc. Alors que la vie chrétienne ne nous permet pas d’aimer le monde, elle nous dit plutôt que quiconque aime le monde est ennemi de Dieu.
Ainsi, à cause des attirances qu’éprouvent les jeunes, il est difficile de rester pur. Alors, il y en a qui tombent chaque jour dans le péché, et ne se relèvent pas. Il y en a aussi qui tombent, mais qui veulent rester purs. Parfois, en voyant qu’ils font beaucoup d’efforts sans y arriver, ils en arrivent à penser que c’est impossible de mener une vie pure. "C’est le message que nous essayons de passer parce que nous voyons la dérive au sein de la jeunesse chrétienne. Notre souci était de repositionner les choses dans leur esprit, le Seigneur doit être la première raison de vivre de chacun", mentionne Kevin MEYI, membre du comité d'organisation des "Jeunes au Yadah".
Le rendez-vous s'est achevé avec un festival organisé dans le cadre du divertissement. L'objectif était de découvrir les talents cachés de certains et en explorer pour d'autres. Aux sorties de ces moments, les jeunes ont été invités à s'investir et s'infiltrer dans les hautes sphères de la société.
Pour Camfaith, Manuella Bimaï
